Je vous tiens informé de ce que je fais auprès de Waze Ltd.
Après en avoir informé officiellement les CM de France, et recueilli trois avis seulement, mais plutot favorables à ma démarche, j'ai envoyé, comme prévu, mon projet de lettre, en anglais, à Shirlig, avec une longue explication. J'attends maintenant sa réponse avant d'envoyer mon courrier, ou non, au Directeur Général début janvier.
En résumé, je fait parvenir à Waze l'article modifié du Code de la Route, et la page de FAQ du ministère sur le sujet. Je leur demande ce qu'ils comptent faire pour que
1. Les conducteurs utilisant Waze ne risquent plus d'amendes en France.
2. Les CM et AM, formellement agréés par Waze, ne risquent plus de poursuites pénales pour incitation à l'utilisation d'un avertisseur de radar et maintien d'une base de données radar accessible à tous (produit gratuit, fonction et non désactivable (popups), absence de mise en garde du consommateur, etc..).
Je ne suggère aucune solution, pour les forcer à une étude sérieuse (avec avocats probablement) de la situation. J'insiste sur l'urgence et l'importance du sujet.
J'attire particulièrement leur attention sur le fait qu'ils ne peuvent pas espérer mettre en oeuvre leur business modèle dans la 5e puissance économique du monde car aucun commerce, ni patron, ne paiera pour avoir son icone affichée sur une carte tant qu'il sera illégal de la posséder.
Je les préviens aussi que si le ministère veut un jour faire un exemple en interdisant un produit, ça tombera sur Waze, car,
1. c'est le seul à n'avoir "même pas ébauché une tentative de début d'étude de possibilités de modification " pour entrer dans le rang,
2. c'est un excellent produit qui fait de l'ombre à beaucoup de concurrents,
3. son interdiction ne supprimerait aucun emploi, aucune entrée d'impôts sur les sociétés, ni aucune rentrée de TVA en France.
Je précise aussi à Shirlig que, comme de nombreux wazers choisissent waze pour ses radars, il ne faudrait pas se contenter de les supprimer, mais bien créer des zones de danger, comme ses concurrents. Que ça aura un coût en main d'oeuvre, car il faudra aussi renseigner les zones de danger imposées par le ministère on ne les connait pas encore, mais il y en aura beaucoup, pour noyer les radars. Là ce sera à nous de voir si on fait tout, ou rien, ou si on peut utiliser une procédure automatique pour renseigner la base.
Pour préserver la standardisation du programme dans le monde entier, on peut imaginer introduire dans l'appli un test sur le pays dans lequel se trouve le conducteur (il me semble que le client connait sa position GPS, ) et d'activer ou non les bons modules.
Enfin, si Waze décide de ne rien faire, je désinstalle l'appli et vous n'entendrez plus parler de moi, car je prédis qu'une telle erreur de management présagerait de la disparition à terme du produit. Ce serait fort dommage. Je n'y crois pas un instant.
Je profite de ce long message pour préciser, à ceux qui rêvent encore, qu'il y a une grande différence entre une appli qui ne peut pas afficher les radars (légale), une appli dont les radars ont été supprimés par le constructeur (légale) dans laquelle l'utilisateur a ajouté lui-même les radars (c'est l'utilisateur qui est en tort - de même que celui qui a mis à sa disposition la base des radars ajoutée), une appli qui possède la fonction (illégale), même désactivable (elle reste illégale). Un utilisateur qui possède une appli illégale est en tort. S'il se sent capable de prouver sa bonne foi, c'est son problème à lui. Lui faire croire qu'il aura toujours gain de cause ou qu'il ne risque rien, ce n'est pas honnête.
Après en avoir informé officiellement les CM de France, et recueilli trois avis seulement, mais plutot favorables à ma démarche, j'ai envoyé, comme prévu, mon projet de lettre, en anglais, à Shirlig, avec une longue explication. J'attends maintenant sa réponse avant d'envoyer mon courrier, ou non, au Directeur Général début janvier.
En résumé, je fait parvenir à Waze l'article modifié du Code de la Route, et la page de FAQ du ministère sur le sujet. Je leur demande ce qu'ils comptent faire pour que
1. Les conducteurs utilisant Waze ne risquent plus d'amendes en France.
2. Les CM et AM, formellement agréés par Waze, ne risquent plus de poursuites pénales pour incitation à l'utilisation d'un avertisseur de radar et maintien d'une base de données radar accessible à tous (produit gratuit, fonction et non désactivable (popups), absence de mise en garde du consommateur, etc..).
Je ne suggère aucune solution, pour les forcer à une étude sérieuse (avec avocats probablement) de la situation. J'insiste sur l'urgence et l'importance du sujet.
J'attire particulièrement leur attention sur le fait qu'ils ne peuvent pas espérer mettre en oeuvre leur business modèle dans la 5e puissance économique du monde car aucun commerce, ni patron, ne paiera pour avoir son icone affichée sur une carte tant qu'il sera illégal de la posséder.
Je les préviens aussi que si le ministère veut un jour faire un exemple en interdisant un produit, ça tombera sur Waze, car,
1. c'est le seul à n'avoir "même pas ébauché une tentative de début d'étude de possibilités de modification " pour entrer dans le rang,
2. c'est un excellent produit qui fait de l'ombre à beaucoup de concurrents,
3. son interdiction ne supprimerait aucun emploi, aucune entrée d'impôts sur les sociétés, ni aucune rentrée de TVA en France.
Je précise aussi à Shirlig que, comme de nombreux wazers choisissent waze pour ses radars, il ne faudrait pas se contenter de les supprimer, mais bien créer des zones de danger, comme ses concurrents. Que ça aura un coût en main d'oeuvre, car il faudra aussi renseigner les zones de danger imposées par le ministère on ne les connait pas encore, mais il y en aura beaucoup, pour noyer les radars. Là ce sera à nous de voir si on fait tout, ou rien, ou si on peut utiliser une procédure automatique pour renseigner la base.
Pour préserver la standardisation du programme dans le monde entier, on peut imaginer introduire dans l'appli un test sur le pays dans lequel se trouve le conducteur (il me semble que le client connait sa position GPS, ) et d'activer ou non les bons modules.
Enfin, si Waze décide de ne rien faire, je désinstalle l'appli et vous n'entendrez plus parler de moi, car je prédis qu'une telle erreur de management présagerait de la disparition à terme du produit. Ce serait fort dommage. Je n'y crois pas un instant.
Je profite de ce long message pour préciser, à ceux qui rêvent encore, qu'il y a une grande différence entre une appli qui ne peut pas afficher les radars (légale), une appli dont les radars ont été supprimés par le constructeur (légale) dans laquelle l'utilisateur a ajouté lui-même les radars (c'est l'utilisateur qui est en tort - de même que celui qui a mis à sa disposition la base des radars ajoutée), une appli qui possède la fonction (illégale), même désactivable (elle reste illégale). Un utilisateur qui possède une appli illégale est en tort. S'il se sent capable de prouver sa bonne foi, c'est son problème à lui. Lui faire croire qu'il aura toujours gain de cause ou qu'il ne risque rien, ce n'est pas honnête.
Re: Comparatifs "Antiradars" dans le dernier Micro Hebdo